Première sodomie de Solène

Le 11 février 2024 2 commentaires 7053 vues

Je ne cesse de penser, Docteur , à notre future première rencontre à Paris.

Au moment où je me retrouverai devant la porte de cette brasserie, à Saint-Germain des Prés, où nous nous sommes donné rendez-vous. J’aurai la boule au ventre avant de pousser la porte en sachant que quelque chose dans ma vie intime va basculer. Puis Vous qui m'attendez et qui me faites signe de la main.

Je m'approcherai lentement, encore hésitante, intimidée sachant que vous me scannez du regard de la tête aux pieds, que vous m'évaluez.

« Plutôt mignonne, ça ne gâche rien !….. Jolis yeux…… Joli sourire….. J’adore les taches de rousseur…… Vous êtes une vraie rousse ?….. Oui, je ne tarderai pas à vérifier….. Pas de soutien-gorge, c’est bien de m’avoir obéi….. C’est la première fois que vous allez vous faire….. »

« Oui, Docteur, c’est la première fois. »

Puis votre regard au plus profond de mes yeux, peut être un sourire complaisant, puis votre voix. C'est très important la voix. Je ne m'assiérai, sans doute pas face à Vous, mais plutôt sur l'un des côtés de la table. Vous entamerez la conversation, je ne f erai que répondre à vos questions. Nous avions décidé de rentrer assez rapidement dans des propos assez direct, je les écouterai parfois étonnée, troublée, intéressée, excitée, choquée…Vous oserez sans doute déjà quelques contacts furtifs : ma main, mes cheveux, mes cuisses… Je me laisserai déjà faire, sans doute apprécierai-je, en tout cas, je me détendrai, rassurée par qui Vous êtes et par vos propos.  Puis viendra le fameux "On y va ?"… Nous nous lèverons et à partir de ce moment-là j'aimerais que nous gardions le silence jusqu'à nous soyons arrivés dans l'appartement.

Une fois arrivée, j'imagine que je serai à nouveau tendue sachant que c'est le moment d'une phase plus "osée". J'attendrai vos consignes, vos ordres, les yeux fermés à moins que Vous ne m'ordonniez le contraire. J'imagine que vous commencerez par prendre connaissance de mon corps à travers mes vêtements : mes seins libres sous mon chemisier blanc, mes fesses et mon entre jambes déjà légèrement humide sous mon jean serré. Puis forcément Vous voudrez en voir plus, en toucher plus, en examiner plus. Je Vous laisserai faire docilement en étant complètement à l'écoute de vos ordres et des sensations qu'ils me procureront. Je sais déjà, à moins que je ne fantasme ce moment, que mon excitation ne tardera pas à monter. Tout dépendra des mots, des gestes, des ordres. Je ne sais pas encore jusqu'où vous voudrez aller dans cette première phase.

J'imagine le moment où, debout face à face, Vous attachez un bandeau sombre sur mes yeux qui me plonge dans une obscurité totale. Ainsi privée de la vue, ce sont mes autres sens qui s'exacerbent. Sur votre ordre, j'ouvre mon chemisier en prenant soin de le dégager de mon jean serré. Mes seins libres s'offrent à votre regard, vous les connaissez déjà en photo, mais là ils se trouvent à votre disposition pointes déjà tendues. Vous remarquez leur couleur sombre et Vous m'en faites le compliment. Mon cœur palpite, soulevant régulièrement ma poitrine. Puis je me lance…

Je prends en tâtonnant vos mains et les pose lentement sur mes seins. Ce premier contact avec mon corps me fait tressaillir. Vos mains sont chaudes, puissantes. Vous gardez vos mains, doigts bien écartés pour  englober et soupeser mes deux mamelles aux pointes fragiles. Puis je vous demande d'une voix mal assurée :

"Monsieur, voulez-vous découvrir mes seins, mon ventre, mes épaules comme il vous convient ? "

Je ferme les yeux sous mon bandeau pour mieux ressentir l'exploration que vous allez entamer, sans doute aussi pour surmonter quelque peu, la gêne passagère de ce début de présentation. Vous me demandez de me débarrasser de mon chemisier blanc qui glisse à terre comme une feuille qui tombe d'un arbre. Je sens que vous regardez attentivement l'ensemble de mon visage et de mon buste. Vous caressez mes cheveux, mon visage, ma nuque, mes épaules, j'en frémis…

Vos commentaires parfois élogieux, parfois crus me flattent. Vous connaissez parfaitement l'effet que les mots comme les images produisent sur ma cérébralité. Vous revenez à ma bouche et caressez mes lèvres closes, vous insistez pour me faire comprendre qu'il faut que j'entrouvre la bouche que vous explorez avec un doigt, caressant ma langue, déformant légèrement mes joues. Vous faites coulisser votre doigt entre mes lèvres, simulant ainsi une sorte de petite fellation à laquelle je me prête avec un certain plaisir. Vous retirez votre doigt. Quelques longues secondes s'écoulent sans que je ne sache quelle sera la suite.

Vous commencez délicatement et lentement à caresser mes deux seins en même temps, ils s'échauffent, gonflent. Vous explorez mes pointes brunes tendues aussi, vous les effleurez tout d'abord puis les faites rouler entre votre pouce et votre index, tirez dessus, vérifiez leur élasticité, les faites bander encore plus. J'apprécie, comme Vous le savez, que l'on s'occupe de mes seins et en la circonstance ça me libère un peu de mon appréhension, de ma timidité.

Vous empoignez, maintenant mes deux globes à pleine main et Vous Vous mettez à les presser, les malaxer, les resserrer l'un contre l'autre, les remonter vers mes épaules… mon souffle s'accélère, le votre aussi. Mon corps s'assouplit sous ces caresses, je ne suis plus raide comme un piquet comme c'était le cas depuis le début.  Vous caressez aussi mon ventre, vous semblez vouloir en découvrir chaque mm², le bout de vos doigts glissent parfois sous la ceinture de mon jean, présageant de la prochaine étape de l'exploration.

Vous caressez mes flancs jusque sous les aisselles complètement lisses aussi, vous vous attardez sur mes hanches en les agrippant fermement, je ne peux m'empêcher de penser alors que Vous testez la prise pour de futures postures bien érotiques  Vous cessez… Mon corps est à présent bien détendu, vos mains, vos gestes, vos paroles m'ont mise en confiance et dans une certaine excitation mentale et physique, mais je ne puis assurer que je mouille déjà. Vous m'avez demandé de poursuivre ma présentation. Vous avez retiré le bandeau. La pénombre de la pièce m'éblouit cependant. Je retire avec difficulté mon jean serré en me déhanchant et me retrouve en petite culotte noire à dentelles choisie particulièrement pour cette séance qui offre une belle transparence sur ma fente.

Je garde les yeux ouverts pour Vous observer à mon tour et sans doute pour anticiper mentalement ce que Vous allez me faire… D'un geste du menton de votre part, je comprends qu'il me faut la retirer… Je la retire lentement pour repousser au maximum le moment où je serai totalement offerte à votre regard. Me voici totalement nue debout devant Vous. C'est un effet très particulier que de me retrouver ainsi devant un homme que je ne connais que depuis peu de temps. Vous commencez l'inspection… Vous vous placez derrière moi pour que je vous présente ma croupe, mon cul. Vous empoignez chaque fesse et comme pour mes seins Vous les pétrissez, les malaxez puis les écartez pour mieux voir ma raie et ce qu'elle recèle. Vos commentaires et vos questions me font rougir. Vous terminez par une bonne claque sur mes fesses qui me fait sursauter.

Vient maintenant le moment le plus crucial pour moi dans cette  présentation : mon sexe avec cette touffe rousse que vous appréciez tant. .

« Alors petite femelle, tu veux bien écarter un peu les cuisses ? »

Vous vous approchez au plus près de moi. Je ne peux absolument pas savoir ce que vous pensez, ce que Vous ressentez. Vous me faites écarter un peu plus les jambes. Je sens la chaleur de votre main s'approcher de ma vulve. Puis premier contact votre majeur qui écarte mes lèvres intimes très doucement, du bas vers le haut pour s'arrêter sur mon clitoris que Vous titiller pour le faire durci r encore plus. Maintenant je mouille abondamment, je le sais, je le sens. Puis sans ménagement cette fois ci vous enfoncez votre majeur dans mon vagin, le fouillez, le branlez, un deuxième doigt le rejoint. Vous m'écartez, vous me dilatez accélérez le rythme de la pénétration.

Puis soudain Vous attrapez mes cheveux derrière mon cou, tirez mon visage en avant pour forcer ma bouche à rejoindre la vôtre. Je reçois vos lèvres gourmandes et humides, je sens votre haleine, votre énergie de désir dans ce contact. Je  me crispe un peu. Je savais que vous vous serviriez de votre bouche, nous l'avions prévu dans nos messages préliminaires. Votre langue pénètre ma bouche, l’envahit devrais-je dire, une langue ferme et experte qui me fouille, qui recherche la mienne, s'enroule autour, l’aspire, la tête... Nous salivons tous deux abondamment, mon menton ruisselle de salives mélangées. Vous maintenez votre pression sur ma nuque, je me sens forcée. J’apprécie cependant votre fougue et votre savoir-faire. Cette séance me parait interminable mais paradoxalement je ne souhaite pas qu'elle s’arrête…

Vous me faites mettre à genoux toujours en maintenant mes cheveux fermement, vous dirigez mon visage contre la bosse qui déforme outrageusement votre pantalon. Vous maintenez ma tête et plus particulièrement ma bouche contre votre bosse, dont je sens la vigueur à travers le tissu. Vous faites frotter mes lèvres le long de votre hampe en de nombreux aller et retour. Mes lèvres s’échauffent et je commence à trouver un peu pénible cette façon de faire. Je commence à comprendre qu'il me faut accepter tout ce que Vous me demanderez, que ce soit plaisant ou déplaisant. Vous cessez et m’ordonnez d’ouvrir votre braguette, je m’exécute très maladroitement et fini par y arriver. Votre pieu émerge, bien raide devant mon visage. Un gland turgescent magnifique, une tige longue et assez épaisse. Je sens son énergie, son désir, ses pulsions, son impérieuse envie…

Vous l'approchez de ma bouche encore fermée, toujours en me maintenant la tête. Je sens sa chaleur et son odeur virile. Vous passez votre gland sur mes lèvres, sur mes joues, sur mes yeux, sur mon front. Vous me giflez fermement le visage avec votre queue par des allers et retours rapides. Je me sens déjà heureuse d'accepter cela. Vous cessez et immobilisez votre gland sur mes lèvres et, comme je le préssentais, Vous m’ordonnez de croiser les bras derrière le dos et d'ouvrir la bouche.

A ma grande surprise Vous vous enfoncez, très lentement dans ma bouche. Mes lèvres s'arrondissent sur votre tige. Vous l’enfoncez encore plus, je commence à avoir du mal à la supporter, je salive abondamment, j’ai des hauts le cœur, je suffoque. Des larmes coulent sur mes joues, Vous maintenez la pression sur ma nuque et Vous poursuivez encore. Mon visage est maintenant plaqué contre votre bas ventre, je n'en peux plus, je crains de m’évanouir. Vous relâchez la pression et Vous vous retirez rapidement. Je reprends mon souffle telle une naufragée au bord de la noyade.

Vous me tenez maintenant en haut du cou et à nouveau, Vous vous enfoncez d'un coup sec au plus profond de ma gorge. Votre queue gonflée me parait énorme tant elle m’envahi t … Vous vous mettez maintenant à me pilonner la bouche à grands coups de rein convulsifs. Vous me baisez la bouche comme vous me baiserez la chatte ou l’anus plus tard sans doute. Vous respirez bruyamment, bestialement.

« Petite femelle rousse que j’adore, tu es une vraie salope, je vais te faire aimer les bites,

je vais faire de toi une vide couilles, soumise à ma perversité et à celle de mes amis . »

Vous cessez et vous vous retirez lentement après un moment qui m'a paru interminable.

Des larmes coulent sur mes joues et ma salive dégouline sur mes seins. Je crains que mon mascara ne tienne pas et coule lui aussi. Vous me faites relever et une fois debout vous m’ordonnez d’écarter les jambes. Je devine aussitôt que vous allez vous servir de mes orifices.

Vous commencez par prendre ma vulve à pleine main, vous la pressez, la pétrissez puis écartez ses lèvres pour observer sa béance. Vous commentez la finesse de mes petites lèvres que vous pincez, que vous étirez et bien sûr mon clitoris. « Un vrai clito de chienne et comme il est déjà bien dressé » me dites-vous. Vous rajoutez « Et en plus elle mouille bien cette salope » Vous passez à mon cul… Vous m’ordonnez d’écarter les fesses à deux mains et de me cambrer pour faciliter l’inspection. A nouveau des commentaires graveleux. Les mots crus ont vraiment le pouvoir de m’exciter. Vous crachez sur mon petit trou et vous enfoncez votre majeur, un deuxième doigt le rejoint.

« Tu es vraiment serrée du cul, j'adore ça, je vais le travailler pour qu'il prenne de grosses bites, à commencer par la mienne ! »

A présent vous branlez mon cul et ma chatte en même temps. Je sens votre excitation qui s’amplifie. Vous êtes raide comme un manche de pioche . Votre queue me frôle les cuisses. Cette raideur m’excite. Vous m'ordonnez de me retourner face au mur de la pièce, bras tendus, mains contre le mur, croupe tendue vers l'arrière. Quelques minutes interminables se passent. Vous vous placez contre moi et guidez votre queue à l'entrée de ma chatte juteuse. D'un coup puissant vous me pénétrez jusqu'à la garde. Je ne peux m'empêcher de pousser un gémissement de satisfaction. Vous empoignez mes mamelles, les pressez et commencez vos vas et viens puissants, voire bestiaux. Vous ahanez à chaque fois que vous plongez dans mon vagin. Plus vous êtes excité, plus vous meurtrissez mes seins. Vous me claquez les fesses aussi, je sens qu’elles rougissent, mais ce feu est tout aussi délicieux. Vous faites en sorte de pouvoir atteindre, avec l'un de vos doigts, mon petit trou qui palpite déjà sans relâcher vos coups de boutoir dans mon vagin qui ruisselle.

Vous me faites mettre à quatre pattes sans ménagement. Vous vous retirez de ma chatte en feu et présentez votre gland humide de mouille à l'orée de mon petit trou déjà pas mal préparé par votre doigt. Vous m’ordonnez à nouveau d’écarter mes deux lobes des fesses avec mes mains, vous m’ordonnez aussi de bien présenter ma croupe en me cambrant au maximum. Vous empoignez fermement les hanches Votre gland devient très présent sur mes chairs délicates, mon petit trou se détend sous la pression, il se dilate pour laisser entrer votre grosse queue bien raide du désir de me sodomiser enfin. Vous poussez lentement votre hampe et l’introduisez profondément dans le fourreau de mon cul. Je ne peux m'empêcher de pousser un râle puissant tant je me sens dilatée, envahie, remplie.

Je sens votre puissance virile, impérieuse, décidée à me saillir comme une jument. Vous entamez lentement quelques vas et viens avant d'accélérer le rythme de vos coups de rein.

« Humm ton cul est trop bon, petite salope, il est bien serré, il prend bien ma queue ! »

Je me sens empalée. Je suis empalée. A présent vous me pilonnez le cul sans ménagement, tout mon corps est secoué par ces assauts. Votre souffle est bruyant, je sens votre plaisir de me sodomiser qui s'intensifie à chaque fois que vous allez au plus profond de mon ventre. Votre bas ventre claque contre mes fesses. Vous me claquez les fesses à intervalles réguliers. Mon plaisir de bonne enculée se propage dans tout mon corps. Sans vous demander l'autorisation, je me mets à me branler la chatte au rythme de votre enculage. Un plaisir intense et jusque-là inconnu enflamme mon corps et mon esprit. Je perds pied, plus aucun contrôle. Je sens qu’un orgasme ravageur est en train de monter. Je sens venir le vôtre aussi. Nos deux corps se tendent. Nous hurlons notre jouissance quasiment en même temps. Je sens les jets chauds de votre sperme qui gicle dans mes entrailles de putain . Je m’effondre face à terre, haletante, hagarde, comblée par cet orgasme. Vous restez encore planté dans mon cul encore quelques instants puis vous vous retirez. Mon anus rempli de spasmes laisse échapper  votre semence qui coule sur ma chatte avant de tomber parterre. Mon trou me semble béant sans votre bite dedans.

« Tu vas me nettoyer la bite maintenant sale petite pute » me dites-vous.

Comme une bonne petite pute, je m'exécute avec gourmandise, je la suce, l'aspire, la parcours jusqu'aux couilles que je gobe une à une. Je veux l'honorer pour la jouissance qu'elle m'a procurée. Je veux en devenir addict pour vous servir et si vous me le demandez, vider les couilles d'autres hommes que vous aurez invités.

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