Il y avait une fois une petite pute rousse qui fréquentait beaucoup d’hommes charmants et bien intentionnés. Elle était mignonne avec ses taches de rousseur, ses seins si sensibles et sa touffe si soignée. Elle vivait à la campagne en coloc avec deux amis qu’elle trouvait quand m ême un peu lourds. Un peu lourds mais surtout un peu cons. Elle se contentait de penser : ‘ils sont un peu concon ces deux là’.
Il y avait notamment le gros cochon à la peau rose avec une queue rose qui n’était pas en tire-bouchon, il y avait aussi un énorme taureau à la peau noire avec une queue toute noire qui n’était pas non plus en tire-bouchon. Non seulement ils étaient cons mais c’est elle qui faisait toujours soigneusement le ménage dans la coloc.
Les deux autres ne travaillaient jamais. Avez-vous déjà vu un gros cochon rose ou un énorme taureau noir faire du ménage ? Ils étaient toujours sur le point de faire quelque chose, surtout ils auraient aimé faire quelque chose à la petite pute rousse mais… ils étaient bien trop paresseux ! En fait ils se croyaient très intelligents et n’essayaient m ême pas de comprendre ce que la petite pute rousse essayait de leur expliquer pour qu’ils parviennent à leur fin. Le cochon aimait se rouler dans la boue en grognant, le taureau aimait nager dans la mare en mugissant.
Alors, en attendant de se faire enfiler, la petite pute rousse leur faisait faire des colliers de perles qu’elle vendait au marché pour pouvoir aussi donner à manger à ses amis. Bref, ils enfilaient des perles à longueur de journée tout en râlant un peu :
« C’est toi qu’on préfèrerait enfiler plutôt que des perles! » disait le gros cochon dont la queue qui n’était pas tire-bouchonnée se dressait aussitôt à l’évocation de ce possible enfilage.
Cela faisait rire le grand taureau noir dont la queue aussi…. Mais la petite pute rousse les consolait en leur disant :
« Moi aussi j’aimerais bien que vous enfiliez autre chose que des perles mais vous savez bien ce qu’il vous faut nous trouver pour ça ! Ce qu’il vous faut trouver, vous !»
« Oui, on sait bien! T’inquiète, on va trouver !» disait le gros cochon dont la queue...
« Oui, justement, on va en trouver, on va en trouver plusieurs même ! Et des grands ! » corrigeait le grand taureau dont la queue, aussi…...
Un jour, le gros cochon et la grand taureau arrivèrent en courant, essoufflés, vers la petite pute rousse :
« On a trouvé, on a trouvé un petit paquet de graines de ce qu’il faut ! On va vite les semer et les faire grandir ! Bientôt, on pourra arrêter d’enfiler des perles.»
« Ah bon ? Parce que vous croyez qu’avec des r…... » mais la petite pute rousse n’avait même pas eu le temps de finir de leur dire que ce n’était pas avec des radis, même des gros radis qu’il allaient pouvoir l’enfiler toute cru ! Elle se disaient qu’ils étaient vraiment con et les laissa faire !
« Hey, toi le gros cochon et toi, le grand taureau, vous êtes loin du compte, vous gelez ! Vous n’êtes pas près de me ….. »
Alors la petite pute rousse voulut leur enlever leurs illusions mais ils n’écoutaient plus. Elle trouvait qu’ils étaient vraiment cons mais elle les laissa avec leurs illusions…. Les radis poussèrent.
La petite pute rousse ramassa de très beaux radis et se dit qu’à défaut de se faire enfiler elle allait déguster. Mais le gros cochon et le grand taureau étaient déçu et la petite pute rousse leur suggéra, enfin, c’est ce qu’ils crurent, de trouver des carottes et plutôt des grandes. Ils trouvèrent des graines de carottes géantes… Elle trouvait qu’ils étaient vraiment cons mais elle les laissa avec leurs illusions….
Et puis le maraîcher vint un jour chercher les radis et les carottes pour les revendre au marché pour le compte de la petite pute rousse…. Le gros cochon et le grand taureau discutèrent avec le maraîcher qui les trouva aussi vraiment cons !
« Vous êtes vraiment cons, vous ne comprenez rien ! C’est pas des carottes géantes qu’il faut, ce sont des capotes géantes ! »
La petite pute rousse dit alors au maraîcher :
« Monsieur le maraîcher, si vous voulez aussi des parties gratuites, venez donc ce soir avec vos capotes géantes ! »
Le soir m ême, elle enfila la capote géante d’abord au gros cochon à la peau rose avec une queue rose qui n’était pas en tire-bouchon puis elle fit la même chose avec la queue toute noire qui n’était pas non plus en tire-bouchon du taureau noir…
L’histoire ne dit pas qui, du gros cochon rose ou du taureau noir, a enfilé la petite pute rousse en premier. Mais elle a aimé les deux.
La maraîcher s’est débrouillé tout seul et a eu droit à sa partie gratuite !
Depuis ce jour, la petite pute rousse consomme de la capote géante le plus souvent qu’elle peut mais elle n’a plus de collier à vendre!
La poule rousse
De clo1999
Le 11 février 2024 - 2 - 37
Je ne cesse de penser, Docteur , à notre future première rencontre à Paris. Au moment où je me retrouverai devant la porte de cette … Lire la suite...